On a souvent tendance à réduire les questions de réputation et d’activisme sous le paradigme “entreprise VS société civile”. S’il est vrai que ce sont là les cas les plus visibles, il n’en reste pas moins que les coups de pressions peuvent s’exercer dans le cadre “société civile VS administrations/gouvernement” avec des résultats tout à fait notables et surprenants.
Le cas le plus connu et emblématique ces derniers mois reste, dans la sphère francophone, le cas des “Pigeons”. Un petit noyau d’entrepreneurs du web a réussi à faire reculer en quelques jours le gouvernement français sur une mesure fiscale et, accessoirement, lui a fait perdre la face. Ce cas a été amplement documenté et je vous renvoie à quelques liens ici ou là.
D’autres actions sont passées beaucoup plus inaperçues. Mais restent tout aussi importantes. Car il s’agit d’opérations spontanées, issues de communautés qui se sentaient lésées et qui ne disposent pas de savoir faire ou de connections particulières dans le monde des communications (au contraire des Pigeons). Pourtant, l’expérience démontre qu’avec un peu de volonté et d’imagination, ces opérations ont connu de véritables succès. C’est notamment le cas d’une communauté bien particulière : les femmes de militaires.
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Retrouvez la suite de cet article sur #ReputationWar, le site de la conférence à laquelle je collabore et qui aura lieu le 11 janvier à Paris, sous l’égide de l’Ìnternational Public Relation Association et de Syntec RP.
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Comfluences, David Millian 